La rupture des pourparlers est fréquente dans le monde des affaires, où des négociations longues et complexes peuvent échouer. Dans le cadre d’une opération de cession d’un groupe viticole, le tribunal de commerce de Paris a rappelé que les négociations pouvaient être librement rompues dès lors qu’aucune faute manifeste n’était démontrée.
Voir l'article publié par Option finance, n° 10, 12/2024, pages 62-64 sur le site de l'éditeur.